En 2017, Isabelle Fesquet découvre « les camps de concentration de Saint-Cyprien », de février 1939.
Après une enquête auprès d’espagnols, tous descendants d’exilés de la Retirada, un récit est né au cours duquel nous découvrons Octavio, Maria et Teresa. Tous nous donnent une belle leçon d’humanité et de courage qui résonne encore aujourd’hui.
Accompagnant le récit de façon simultanée ou alternée, Emile Sanchis, lui-même fils d’exilé, chante, joue de la guitare et mêle à la narration la voix de la poésie hispanique.
Durée : 1h10 – Tout public à partir de 14 ans
Crédit photo : Anne Vallier
Crédit affiche : Gaël Le Rudulier
VIDEO : https://l-ema.fr/fr/artistes/cafard-palace
un duo de rock garage, teinté de pop qui sent bon l’atelier.
Un sauvage mélange de pop et de blues décoré de reverb qui aime la musique 60’s, les films de série B et les sièges en bakélite. Taillés pour la route, les deux ouvriers distillent une musique simple et rageuse, accompagnés d’une batterie et d’une guitare. Avec une proportion de textes en français de plus en plus grande, Cafard Palace vient se placer au carrefour entre un Last Train et une Catherine Ringer sous fuzz.
Après avoir monté un set au printemps 2021 ils décident d’enregistrer leur premier EP ‘La dent du mammouth’, disponible depuis le 02 Septembre 2022. Les 2 musiciens aguerris - Arthur a tourné plus de 15 ans derrière les futs de Barrio Populo quand Thomas parcourait la France avec son projet solo – sont prêts à reconquérir le rock en hexagone.
VIDEO : https://vimeo.com/940350825
code : BRANECH
Branech est un village isolé. Depuis plusieurs semaines, les lapins des habitants sont tués, retrouvés alignés devant leur clapier dans une sorte de rituel macabre. C’est sur cet étrange fait-divers que vient enquêter Alma Bérault, journaliste parisienne curieusement envoyée par sa rédaction.
Polar immersif et itinérant à mi-chemin entre l’enquête policière et sociale, Les Lapins de Branech se veut une expérience de spectacle vivant alternative, entre le théâtre et le théâtre de rue, à partir de 12 ans.
CANYON PROD avec le soutien de l’ADAMI.
De Margaux Gorce Avec Fabrice Bressolles - Carmen Brown - Laurent Cazanave - Laurent Gernigon - Margaux Gorce - Camille Plantevin - Juliette Storai
VIDEO de leur précédente création : https://www.dakote.fr/spectacle/krapahute/
Distribution :
Texte : Christophe Bihel / Mise en scène et jeu : Christophe Bihel, Agnieszka Kolosowska-Bihel / Images et objets : Laure Guilhot / Musique/bande originale : K.K. / Collaboration technique : Michel Druez Production/administration : Charlotte Lyautey / Production/diffusion : Geneviève Leister
Par une nuit sans Lune, le professeur Schmetterling, titulaire d'une chaire de Futilité à l'Université du Haut-Frivhol, se réveille en sursaut avec la désagréable impression qu'un mal étrange le ronge du côté du nombril. Dès le lendemain, il se rend donc chez le médecin, se débat dans le curieux dédale des options de l'assurance maladie, et, après trois longues semaines d'une sale attente en salle d'attente, il est enfin reçu par un médecin. Le diagnostic est sans appel : Schmetterling souffre d'un sacré truc de type mortel qu'il faut d'urgence anéantir. Quelques jours plus tard le professeur se retrouve alors sur une table d'opération, fin prêt pour un voyage en anesthésie qui le mènera sur la Lune…
Pour ce second volet du projet Homo Lunaticus, nous ferons la connaissance du professeur Schmetterling, cosmonaute fortuit, devenu spécialiste émérite de la chose lunaire. A partir de documents véridiques certifiés conformes par le Bureau Lunien Des Envahisseurs Terrestres, Urbi et Orbi nos baratineurs dûment labellisés par le ministère de la science infuse, vous raconteront une étrange épopée dans le ventre de la Lune. Une fantaisie "roman-feuilleton" pour deux lecteurs, mêlant l'art délicat du boniment et l'esprit ludique de la pataphysique.
Partenaires Dakôté : Ministère de la Culture - DRAC Auvergne-Rhône- Alpes (Cie conventionnée) ;
Région Auvergne–Rhône-Alpes (Cie conventionnée) ; Conseil Départemental de l’Allier (Cie conventionnée) ; Commune de Lavault- Ste- Anne (03) ; La Coloc’ de la culture - scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse - Cournon d'Auvergne (63).
Coproductions et aides à la création : La Coloc’ de la culture - scène conventionnée d’intérêt national art, enfance, jeunesse - Cournon d'Auvergne (63) ; La Comédie de Clermont-Ferrand scène nationale (63) ; La Guéretoise de spectacle - scène conventionnée d’intérêt national – Guéret (23) ; Yzeurespace – Scène Régionale Auvergne-Rhône-Alpes – Yzeure (03) ; Communauté de communes Combrailles, Sioule et Morge - La Passerelle (63) ; Communauté de Communes Berry Grand Sud – Saison Culturelle Ballade en Boischaut (18), Ville de Billom (63).
Soutiens : Graines de spectacles – Clermont-Ferrand (63), Ville d'Issoire (63)
"Ce spectacle est joué par quatre artistes qui usent depuis plus de vingt ans les pavés des cités les plus illustrement historiques. La première résidence nous a orientés vers un personnage phare de l'époque médiévale, connu de tous, même de Walt Disney : Richard Cœur de Lion.
Nous avons interrogé les plus grands historiens et relevé sur Wikipédia une biographie des plus authentiques. Après une analyse freudienne de Richard, nous avons construit un héros emblématique d'une époque où l'on signait ses alexandrins de la pointe de l'épée.
Ce spectacle raconte toute la vie de Richard 1er d'Angleterre, ou presque, dans une comédie musicale aux décors minimalistes (ou pas) et péripéties maximisées."
VIDEO : https://www.ciegokai.com/projects/uncategorized/ode-to-a-tempest-2/
Un mariage, une boite de nuit, l’intimité d’une chambre, un visage éclairé par un écran...
Dans un monde onirique et surréaliste, quatre amis traversent les étapes de la vie ensemble et se confrontent aux questions de l’identité.
Ils se cherchent, s’aiment, se détestent, se perdent, s’éloignent et se retrouvent.
Comment exister ? Comment être soi ? Comment résister à cette pression incessante, du « pendre parti », du « faire partie de » ? Écoutes ! Pourquoi suis-je tant en colère ? Je me sens seule, si seule…
Tendre et rebelle, Black Dog est une complainte poétique et dansée : celle de femmes et d’hommes qui, plongés dans leurs tourments, tentent par tous les moyens de s’accrocher à leur unique désir de vivre.
Mise en scène : Juliette Belliard / Texte : Maye Zakri / Construction : Jean-Benoit L'héritier,
Musique : Pierre Bernert
Une cosmogonie fantastique
Sur une planète lointaine vivent des petits, très petits, un roi très tranquille et une énorme dragonne qui prend toute la place et passe son temps à dormir.
Ils sont heureux mais il y a tout de même un problème. Sur cette planète, il y fait aussi noir que dans un poing fermé. …et dans le noir, c’est le bazar !
Les Petits perdent leurs affaires. Ils n‘ont plus de repères. Il leur faut de la lumière.
A la manière d’un conte initiatique, les Petits partent en quête d’une solution. Mais ici point de héros tout seul sur la route ! Non, c’est en groupe que ça se passe. Les enfants persévèrent et vont devenir acteurs de la transformation de leurs conditions de vie et de leur environnement.
Une dragonne paysage qui se dévoile petit à petit, comme un doudou géant. La naissance de la Lune et du Soleil.
Un univers poétique, merveilleux, pour les tous jeunes enfants et les adultes qui les accompagnent.
VIDEO : https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=T0RkIppq5Dk
Le Voyage modifie notre rapport au monde et au temps.
Les trains s’arrêtent et repartent, déposant ou emmenant avec eux des individus et leurs histoires de vies.
Les rencontres éphémères, dans le temps suspendu du huis clos d’un train, changent quelque chose en chacun de nous.
Les souvenirs de voyages créent des émotions personnelles et collectives qui deviennent des histoires.
Les histoires se racontent, se partagent et deviennent parfois des légendes.
Le projet de création L’Immobile Express, c’est une pérégrination dans notre mémoire collective et intime des voyages en train, un jeu avec la perception du mouvement dans l’immobilité du corps. Le sens de la marche se télescope avec le mouvement des images, la hiérarchie des références est abolie par un dialogue de signes qui s’articulent pour créer le sens du voyage.
Les spectateurs sont préparés en amont à devenir les acteurs d’un jeu. Considérés, dès leur arrivée, comme des voyageurs, ils sont pris en charge dans un univers digne des grands départs.
Puis c’est l’entrée en gare ! Les spectateurs sont embarqués alors comme dans un long plan séquence cinématographique où s’enchaînent les événements d’une épopée imaginaire, depuis l’accès au quai jusqu’à la fin du voyage.
VIDEO : https://www.pierresetfils.fr/medias
Musique écrite, spectacle improvisé.
Comme dans une corbeille de bonbons, on ne sait pas sur quoi on va tomber.
Peut-être une sorte de cabaret fantasque.
Un laboratoire humain à la recherche de la cohabitation des plaisirs.
Une dissection musicale de l'espace du jour.
Une restitution collective d'un accomplissement personnel.
Un répertoire de compositions sucrées-salées telles une délicate poire au Bleu ou un présomptueux sandwich chocolat salami.
Ou tout simplement la promesse d'un allègre périple dans l'épicentre populo-sensoriel de notre multiver.
Dans ce tout nouveau spectacle, l'entreprise Pierres & Fils vous propose une prise en main artistique d'un espace, par la liberté des troubadours de l’instant qui la composent.
Avec Clément Berny, Léo Cheverney, Pierre Desbrosses, Pablo Fathi, Adrien Fossaert, Thomas Fossaert, Valentin Lambert, Hippolyte Renaud
Regarde voir
Par de là les yeux, c'est tout le corps qui voit, et c'est à partir de son mouvement que se construit le point de vue. Dans cette proposition de danse et vidéo temps réel, nous mettons en place un dispositif qui permet d'explorer ce que le mouvement de la caméra, initié par le corps, donne à voir. La mise en scène permet d'assister à la danse de celui qui regarde. Le public est invité à découvrir tout à la fois ce qui se révèle lors de la projection et l'activité de celui qui a porté ce regard. Comment le performer s'organise-t-il, physiquement pour proposer une vision subjective de l'événement scénique et quel imaginaire surgit à l'image ?
De et avec Patricia Kuypers et Franck Beaubois (danse, lumière, son)
Développement numérique : Mathieu Chamagne
Au fin fond des fondations de la ville, repose une énorme bête… Le fune !
Cette créature oubliée de la mythologie était autrefois connue pour son apparition annuelle afin de célébrer les arts vivants et l'art de la fête.
Cet événement tout à fait exceptionnel avait pour but de rappeler à la population sa présence et de ce fait, l'obligation de s'émerveiller et de s'amuser, chose qu'ils oubliaient trop souvent.
Accompagnées de bonimenteurs, la créature évoluait dans la ville, faisant redécouvrir les lieux de joie, de repos mais aussi les sites historiques importants.
Enfin et surtout, elle offrait aux habitants un temps de pause dans leur vie courante, un temps d'éveil permettant, une fois la créature redescendue dans les profondeurs de la ville, de regagner leur quotidien différemment : apaisés, revigorés, empreints de cette légende qui resterait désormais présente à chaque fois qu'ils fouleraient le sol de la ville.
Cela fait bien longtemps que le Fune ne s'est pas montré, il est temps de le réveiller…